Ce 27 avril 2014, c’est le lendemain du 40è anniversaire de Véro. Comme elle le dit, elle “vient de passer 15 ans à bouffer des médocs”.
Son quotidien n’est fait que de douleurs, de fatigue et de “ras-le-bol”.
Cela fait maintenant 6 ans qu’elle prend de la morphine à hautes doses, pour pouvoir au moins sortir de son lit.
Ses jambes n’avancent plus et en 15 ans, elle a pris 40 kilos !
L’année précédente, elle avait même pensé au suicide.
Il y a 18 ans (donc à 22 ans ! ), elle avait fait une attaque cérébrale.
Après la naissance de sa fille, une fibromyalgie apparaît.
Puis une fatigue chronique et une insuffisance pancréatique.
Et comme si cela ne suffisait pas, elle a la maladie de Lyme depuis 8 mois !
Mais sa vie bascule
Grâce à une amie qui partage un lien sur Facebook, elle découvre les jus frais. Elle passe des heures à se renseigner et se rend compte que la solution à ses problèmes est à portée de main.
Du jour au lendemain, elle arrête :
- le poisson
- les œufs
- les produits laitiers
- le café
- le chocolat
- le fromage.
Quant à la viande, elle avait déjà disparu de son alimentation depuis l’année précédente.
Elle a cependant gardé les pâtes et les farines, mais sans gluten.
Bilan après 8 semaines
A l’heure où elle témoigne, le 24 juin 2014, cela fait environ 8 semaines qu’elle est aux jus, “smoothies”, fruits et légumes crus.
La nouvelle vie de Véro, c’est maintenant (comme elle le dit elle-même) :
- un sommeil réparateur,
- une pêche d’enfer,
- un moral en béton,
- un transit impeccable,
- moins de douleurs,
- une bonne humeur contagieuse,
- et surtout, cette envie de vivre, qui l’avait quittée.
C’est aussi ce plaisir de manger des choses saines et pleines de couleurs.
Et “cerise sur le gâteau”, elle a perdu 18 kilos en 8 semaines !
Conclusion
Ce témoignage (n° 396) issu du livre d’or du site de Thierry Casasnovas montre encore une fois à quel point, il est “facile” de vivre en bonne santé et même et surtout de la retrouver quand de longues années de vie “contre nature” l’ont altérée. Il “suffit” de respecter les besoins de son corps. Mais a priori, il est évident que, plus longtemps on aura malmené son corps, plus longtemps, il mettra pour retrouver la santé.
L’histoire de Véro montre cependant qu’avec beaucoup de rigueur, il est possible d’obtenir des résultats remarquables en quelques semaines seulement.
Si Véro avait connu la cure métabolique à faire chez soi (voir ci-dessous), cela aurait sans doute été plus facile pour elle.
Si vous pensez que vous avez besoin
d'une détoxination complète de votre organisme
et si, en plus, vous avez besoin de perdre du poids, un peu ou même beaucoup,
et que vous n'y soyez jamais arrivé(e)
Bonjour Marie
Et merci pour tes très intéressants commentaires et ton analyse du témoignage présenté.
Effectivement, deux mois c’est un peu court mais je pense que Véro était impatiente de raconter son histoire.Il est manifeste qu’elle n’était pas encore au bout de sa détonixation, ne serait-ce que par son poids qui n’était pas encore revenu à son poids de départ. On peut espérer pour elle qu’elle ne connaisse pas de rechute violente comme tu en parles et que tu sembles bien connaître.
Amicalement
Elisabeth
Bonjour Elisabeth,
Je suis toujours étonnée que l’on puisse arriver si jeune à un tel état de délabrement.
Attaque cérébrale à 18 ans…
Les raisons doivent être liées à bien plus que la nourriture.
Mais en supprimant tous ces faux aliments et en ajoutant du cru et des jus, en effet le corps ne peut que revivre ! Et de manière spectaculaire.
Pour autant parler de guérison en deux mois, après 40 ans pendant lesquels le niveau énergétique a été durablement touché, c’est peut-être prématuré.
La santé ce n’est jamais facile, il faut rétablir des équilibres sur le long terme, les organes ont une énergie totalement perturbée. Le niveau chimique ne suffit pas.
D’ailleurs en réalité, tout changement drastique amène une amélioration spectaculaire.
Un lecteur sur mon blog vient de laisser un commentaire qui dénigre mes conseils, par exemple quand je dis que le jus d’oranges ne devrait pas être consommé au petit-déjeûner avec du pain, des fruits, du fromage etc.
Il me dit qu’au contraire c’est ce genre de petit-déjeûner qui a permis à sa femme de résister à une tumeur cérébrale depuis 7 ans. Il en est convaincu, donc ça marche.
Au moins maintenant.
Alors que c’est seulement la différence avec une alimentation irréfléchie avant, qui a créé la réaction du corps. Jusqu’à quand ?
Voilà ! Tout peut être interprété comme salutaire du moment que cela fait réagir le corps.
Mais je sais bien que le cru et les jus ne peuvent être comparés à ce petit-déjeûner, qui est un cocktail acidifiant évidemment.
L’objectif anti-cancer est manqué !
Je veux dire qu’il ne faut pas donner des espoirs trop rapidement et à tous. J’ai connu des rechutes d’une grande violence chez des gens qui avaient bien réagi au début à ce type de « régime ».
Deux mois ! On ne juge pas la santé sur un temps si court.
Amicalement.
Marie qui a écrit cette semaine sur http://www.nourriture-sante.com
« Gare aux produits solaires, bio ou pas »