Jean-Claude Gruau souffre de deux maladies : un carcinome (vésical) et une recto-colite hémorragique. Comme tout le monde, il consulte. C’est ainsi qu’il voit des gastro-entérologues et urologues. Parmi eux, de très réputés professeurs.
Pendant un certain temps, il se laisse « réséquer » et « chirurgiquer ».
Mais il finit par en avoir marre, constatant que son état ne s’améliorait pas, bien au contraire. La tumeur revenait constamment.
Il décide alors qu’il garderait sa vessie (que les chirurgiens voulaient absolument lui enlever) en s’apprêtant à utiliser toute « médecine parallèle ou perpendiculaire » comme il dit.
En faisant confiance à ses capacités d’auto-guérison.
Il prend alors sa santé en charge tout en se faisant suivre régulièrement.
Il se met à la macrobiotique
Il modifie donc son alimentation en essayant la macrobiotique. Par solidarité, son épouse l’accompagne dans cette nouvelle façon de se nourrir.
Après environ un an de ce régime, sa tumeur est toujours là mais stabilisée.
Par contre, il a l’agréable surprise de constater que les poussées de recto-colite dont il souffrait depuis plus de 20 ans, disparaissent alors même qu’il a, petit à petit, cessé de prendre de la cortisone, seule capable d’arrêter ces poussées.
C’est donc là un succès inattendu de la macrobiotique.
Par ailleurs, surprise totale pour son épouse qui avait, depuis 20 ans, un eczéma qu’elle a vu disparaître en trois mois de macrobiotique. Et accessoirement, alors qu’elle était enrhumée chaque hiver, elle n’a ensuite plus jamais eu de rhumes.
Retombées bien agréables pour son épouse.
Puis il essaie les jeûnes
Suite à un certain nombre de lectures et de témoignages de guérison par le jeûne, Jean-Marc est de plus en plus convaincu que le jeûne pourra l’aider à guérir.
C’est ainsi qu’il s’essaye à plusieurs jeûnes assez courts, pas toujours faciles à tenir.
Pour finalement décider de faire un jeûne aussi long que possible … dans un couvent. Sous surveillance médicale bien sûr.
Il tient 28 jours !
Il sort alors de son jeûne avec la prudence qui s’impose car il ne faut pas remanger trop et trop vite.
Il retourne chez son urologue qui constate qu’il n’y a plus lieu d’enlever la vessie : plus de tumeur et tout est normal. 10 ans après, c’est encore le cas !
Jean-Claude raconte dans le détail et avec humour, sa guérison ainsi que celle d’un ami qui a, lui aussi, emprunté ces mêmes chemins peu courants.
Comme le dit Jean-Claude, « il est notoirement stupide de rejeter la médecine, mais parfaitement borné de rejeter sans examen d’autres méthodes ».
Et selon encore l’idée exprimée par Jean-Claude, il a trouvé un « raccourci » pour accéder à la guérison, en « escaladant un rocher ». Afin que cela puisse servir à d’autres, il a tenu à partager son histoire mais tout le monde ne pourra pas prendre ce raccourci. C’est à chaque personne concernée de savoir si c’est dans ses possibilités.
Oui, c’est vraiment époustouflant la guérison de Jean-Claude. Son cas n’est pas unique puisque, 13 ans plus tard, son ami Michel s’y est aussi mis. Son histoire est racontée dans la deuxième conférence de la page web de Jean-Claude.
Tout ceci montre en tout cas les ressources dont le corps humain dispose pour revenir à la santé.
Bien d’autres histoires suivront, de personnes déclarées incurables par la médecine officielle et qui se sont guéries en appliquant les facteurs naturels de santé : les « sept S » d’André Passebecq rappelés dans la rubrique « Au quotidien » (plus haut).
Sacré histoire ! Jean-Claude a eu une bonne intuition ! Bravo pour sa guérison.