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Isabelle, 60 ans, raconte :

La mauvaise surprise

22 août :

dans l’après-midi, je fais brutalement de la fièvre et des selles liquides à n’en pas finir et je me sens tellement mal que je suis obligée de me coucher ; dans la soirée, ma jambe droite commence à changer de couleur et à être douloureuse.

23 août :

je me réveille, ma jambe me fait atrocement mal, sa couleur a viré au rouge cramoisi ; mon pied ressemble à un boudin et ma jambe à un gros poteau. N’ayant que de très rares et petits problèmes de santé, je me dis que tout cela va passer. La journée passe mais pour ma jambe, elle reste désespérément dans le même état. Et je prends la décision de voir mon médecin le lendemain, après m’être cultivée sur le sujet en parcourant internet.

Les diagnostics

24 août :

ma jambe me fait si horriblement mal que je peine à me poser sur mes 2 pieds pour sortir du lit. Et je me demande comment je vais arriver jusque chez le médecin et comment je vais pouvoir conduire. Heureusement que c’est l’été, ce qui me permet de trouver un chaussant adapté et heureusement qu’il s’agit de la jambe droite, l’accélérateur ne demandant pas trop d’effort ! Verdict du médecin : érysipèle et antibiotiques obligatoires. Moi qui n’ai quasiment pas avalé d’antibiotiques depuis plus de 30 ans, j’essaie de faire de la “résistance”, le médecin connaissant mes penchants pour les “médecines douces” et lui-même n’y étant pas indifférent. Mais il me dit que c’est une question de “vie ou de mort”, car il s’agit d’une infection. Mes connaissances médicales sont limitées et quand j’ai un petit “bobo”, j’ai pour habitude de voir le médecin pour avoir un diagnostic pour ensuite me soigner de façon la plus “naturelle” possible. Mais là, j’ai compris que c’était « sérieux ».

25 août :

par chance, j’avais rendez-vous chez ma naturopathe ce jour. Ancienne pharmacienne formée à la naturopathie au Canada (en France, il n’existe pas de doctorat !), elle saisit très vite la gravité de la situation (selon elle, il s’agit d’une lymphangite) et je comprends que cette fois-ci, il me sera impossible d’échapper aux antibiotiques. Et c’est donc parti pour 10 jours d’antibiotiques, que je supporte d’ailleurs très mal pour commencer. Pendant plusieurs jours, je suis malade de partout !

5 septembre :

après les 10 jours d’antibiotiques, la situation n’a quasiment pas évolué ; je retourne donc chez le médecin et rebelote les antibiotiques pour une semaine !

Au bout de cette semaine, la situation n’a que peu évolué et je décide de ne pas retourner chez le médecin. Et malgré les produits prescrits par la naturopathe, ma jambe et mon pied ne retrouvent toujours pas leur état normal. Si le matin, ils sont relativement “dégonflés”, chaque soir, ils sont anormalement enflés. C’est ainsi que les semaines passent et qu’on arrive à fin octobre (donc 10 semaines après l’infection) et que le problème n’est toujours pas réglé.

Le coup de chance

C’est à ce moment qu’a lieu dans ma ville un grand salon « bio » ; cela faisait bien longtemps que je voulais m’intéresser de plus près à la magnétothérapie. Mais n’y croyant pas trop, je n’avais jamais pris le temps de m’arrêter au stand. Mais bien m’en a pris ! J’ai pu longuement discuter et exposer mon problème de santé. J’ai donc acquis 2 aimants puissants (12 200 Gauss chacun).

Dès début novembre, j’utilise ces aimants (à tout hasard, j’essaie pour voir si cette thérapie a un effet sur mon pied). Au bout d’une dizaine de jours, mon pied n’est plus aussi enflé en soirée. La différence est moins visible sur la jambe qui a tendance à revenir à la normale plus rapidement. Avant fin novembre, mon pied est totalement guéri, plus aucune enflure anormale ne subsistant en soirée.

La naturopathe m’avait fait savoir d’emblée que j’aurais beaucoup de mal à me débarrasser de l’enflure au pied et à la jambe.

Alors je ne peux vraiment pas me plaindre. Il ne me reste qu’une « séquelle » qui ne semble pas vouloir disparaître : une petite surface de peau un peu rougie.

Finalement, en refusant de continuer avec les antibiotiques et autres, j’ai gagné pas mal d’euros (ne parlons même pas de la Sécurité sociale !).

A la fin de cette « aventure », il me reste 2 aimants dont les bienfaits ultérieurs sur ma santé ont pu être démontrés. Ce sera l’objet d’une autre histoire !

Mais chut ! La naturopathe ne sait pas comment j’ai soigné mon pied et comment je continue d’entretenir ma santé en utilisant journellement mes 2 aimants ! Ce qui me permet d’espacer mes visites chez elle.

Et j’allais oublier !

Tout cela parce que je me suis grattée, sans faire attention, entre 2 doigts de pied où une petite plaie a constitué une porte d’entrée pour des bactéries, généralement des streptocoques qui ont donc provoqué cette infection.

En conclusion, petite cause, grands effets !

PS : après mes presque 3 semaines d’antibiotiques, j’ai bien entendu pris soin de reconstituer ma flore intestinale afin de m’éviter d’autres problèmes.

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