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Josiane, 66 ans à ce jour, vous raconte son histoire :

« Par curiosité, j’ai fait  la cure métabolique (dont Elisabeth vous parle maintenant depuis un certain temps sur ce blog) et je continue de consommer les nutriments qui accompagnent la cure et qui m’ont fait tant de bien et çà continue !

 Avant la cure, atteinte d’une hémochromatose génétique,  je me rendais chaque mois au CHU pour effectuer une saignée, seul moyen connu pour régulariser le taux de fer dans le sang. Depuis la fin de ma cure, je fais des prises de sang régulièrement et, croyez-moi, cela fait trois ans et mon taux de fer est maintenant tout ce qu’il y a de plus normal. Les maux de tête et les malaises y afférents ont disparu ! Je revis et n’ai, à ce jour, plus aucun souci lié à cette pathologie dont j’avais hérité. D’ailleurs, je vous avoue en toute sincérité que, depuis, les seules visites à l’hôpital sont pour soutenir des personnes souffrantes. Moi, je suis en pleine forme !

L’existence de cette cure est vraiment une extraordinaire aubaine. Et ce n’est que du bonheur pour tous ceux qui ont eu la chance de la découvrir et de la mettre en pratique.

Mais pour ceux qui ne souhaiteraient pas s’y engager, rien que les exceptionnels nutriments valent déjà le détour.»

Alors, c’est quoi l’hémochromatose génétique ?

J’avoue qu’il y a un an de cela, je n’avais jamais entendu ce mot « hémochromatose » et peut-être êtes-vous nombreux à être dans mon cas ! Et pourtant !

Alors de quoi s’agit-il ?

Au vu du témoignage de Josiane, on comprend qu’il s’agit d’une anomalie du taux de fer dans le sang.

En réalité, vous connaissez sans doute l’anémie (qui est une insuffisance de fer dans la sang) ; l’hémochromatose, c’est tout simplement l’inverse : trop de fer dans le sang !

Avec toutes les conséquences qui peuvent en découler, dans le quotidien, comme le relate Josiane.

Il y a des maladies rares, des maladies infectieuses rares et des maladies auto-immunes. On dénombre 6000 à 8000 maladies rares et chaque mois, on en trouve 5 nouvelles….. (certains s’en frottent les mains…). Environ 80 % des maladies rares ont une origine « génétique ». Et pour un grand nombre d’entre elles, l’origine précise demeure inconnue à ce jour.

L’hémochromatose est la première maladie « génétique » en France. 1 sujet sur 300 est prédisposé, soit 200 000 personnes, ce qui ne veut pas dire que cette maladie se « déclare » et s’ «installe» pour toutes ces personnes.  Bizarrement, la Bretagne et le Gard sont les plus touchés. Et très courante en Europe du Nord, cette maladie n’existe pas dans les  populations du sud-est asiatique et noires.

Cela me fait penser aux Japonais par exemple, dont le taux de certains cancers est très bas ; mais une fois « transplantés » aux Etats-Unis, le taux de ces cancers augmente aussi. Preuve que le mode de vie a son importance, ce qui a été largement démontré à ce jour.  A se demander donc si une population asiatique ou noire transplantée en France par exemple, verrait cette hémochromatose se « déclarer ». On pourrait en tirer d’intéressantes conclusions.

Sur le plan statistique, la mucoviscidose par exemple, maladie beaucoup plus connue, concerne seulement 6 000 personnes, en France

Pour l’hémochromatose, une proportion de 3 hommes pour 1 femme est concernée, les symptômes apparaissant le plus souvent après 40 ans.

L’hémochromatose génétique est donc une maladie héréditaire causée par une absorption excessive du fer apporté par l’alimentation au niveau du tube digestif (duodénum) aboutissant à une accumulation progressive de fer principalement dans le foie, le pancréas, les reins,  les os mais aussi dans les  articulations ou la peau. Cette surcharge ferrique est due à une mutation génétique, c’est ce que dit la médecine.  Le problème venant du fait que l’organisme devient incapable de métaboliser cet excès de fer.

Une fois absorbé, le fer sanguin est transporté par la transferrine (protéine, chargée à 30% de sa capacité) jusqu’à la moelle osseuse où il entre dans la composition de l’hémoglobine, le fer associé à l’hémoglobine étant essentiel à la fixation de l’oxygène au niveau des poumons.

Comment cette maladie est-elle soignée actuellement ?

Depuis l’Antiquité, en passant par le Moyen-Age, la saignée était couramment utilisée, dans toutes les civilisations et dans tous les pays.

Après le XVIII e siècle, la saignée tend à disparaître pour être remplacée par la pose de sangsues se nourrissant du sang en l’aspirant……

Tout cela donne des frissons, car depuis presque la nuit des temps, la saignée était couramment utilisée pour soigner  mais nombreux étaient ceux qui passaient de vie à trépas, à cette occasion. Car on pensait ainsi pouvoir désengorger les « humeurs» et on « soignait » beaucoup de cette façon.

Quelle chance avons-nous de vivre au 21è siècle et d’échapper à la saignée presque systématique !

Et, pourtant, jusqu’à nos jours, la seule solution appliquée et reconnue comme efficace par la médecine officielle,  pour remédier à l’hémochromatose génétique, est de faire régulièrement des saignées. Et à vie !

A signaler que les troubles métaboliques et le surpoids sont parfois associés à la surcharge en fer.

Par ailleurs, il semblerait que la saignée soit encore pratiquée de nos jours dans quatre indications médicales, liées à la composition du sang : la polyglobulie ou maladie de Vaquez, la porphyrie cutanée, l’oedème aigu du poumon et donc l’hémochromatose.

A signaler que la vitamine C favorise l’assimilation du fer.

Par contre, le café, le thé, le vin, le jus de raisin, le lait consommés abusivement tout comme certains additifs alimentaires ou certains médicaments inhibent l’absorption du fer. Informations intéressantes à connaître. Evidemment, tout est toujours dans la mesure.

Pour en revenir à Josiane

Ce que Josiane n’a pas précisé dans son témoignage, c’est qu’elle avait l’habitude de donner son sang et c’est seulement lorsqu’elle a arrêté de le faire, que cette maladie s’est peu à peu installée (ce qui se comprend facilement, le don de sang tenant lieu de saignée).

Depuis, d’autres personnes ont pu bénéficier de l’expérience de Josiane. D’ailleurs, suivant les cas, il n’est pas toujours impératif de passer par la case « cure métabolique ». Une petite remise en ordre alimentaire accompagnée de nutriments bien ciblés peut alors suffire.

Tout comme cette maladie ne se déclare pas chez toutes les personnes prédisposées (on peut d’ailleurs se demander pourquoi…puisque cette maladie est «génétique»), de la même façon, il n’y a aucune certitude que tout le monde réagira comme Josiane.

Les saignées permettent d’éviter que le fer ne se ré-accumule. Elles soignent donc la conséquence de la maladie (la surcharge en fer), mais non sa cause (l’anomalie génétique) qui persiste.

C’est comme une barque qui est en train de couler : il y a ceux qui n’arrêtent pas d’écoper et ceux qui vont tenter de boucher le trou pour régler définitivement le problème.

Le destin de Josiane était de subir ces saignées « à vie » mais la « cure métabolique » est passée par là ! Qui a permis à son organisme de passer de l’état de déséquilibre dans lequel il se trouvait vers un nouvel état d’équilibre. Et ceci A VIE ! A condition bien sûr de ne pas se remettre dans des conditions pouvant mener vers un nouveau déséquilibre.

Pour bien fonctionner, l’organisme humain a besoin d’ « équilibre » : c’est ce qu’on appelle l’homéostasie, qui est la tendance de l’organisme à maintenir ou à ramener les différentes constantes physiologiques  (température, débit sanguin, tension artérielle….) à des degrés qui ne s’écartent pas de la normale.

Trop s’exprimer sur un sujet médical pouvant être risqué, seules les personnes qui s’inscrivent, pour en savoir plus, recevront plus d’informations sur les nombreux bienfaits constatés suite à cette cure métabolique (témoignages à l’appui) ou simplement grâce à la prise, pendant quelques mois, de nutriments bien ciblés.

Dans les faits d’ailleurs, les bienfaits sont tels qu’on ne peut plus s’en passer. Personnellement, avant de connaître la cure et de la faire, je me procurais, de façon anarchique, l’un ou l’autre complément alimentaire. Là, j’ai à ma disposition une ensemble très complet  de compléments alimentaires agissant en synergie.

Mon « grain de sel »

En cherchant à en savoir un peu plus sur cette hémochromatose, je suis tombée sur les explications d’un certain Thierry que nombre d’entre vous connaissent.

Comme il le dit souvent, une maladie « génétique » n’a rien de vraiment génétique ; c’est souvent davantage une maladie « circonstancielle ».

Les maladies génétiques étant dites « incurables », Josiane n’aurait jamais dû guérir de sa maladie !

Mais comme c’est souvent le cas et pour faire court, tout le problème vient des intestins. D’ailleurs, avec la cure, Josiane a justement fait le grand ménage dans ses intestins !

En période de santé, quand nos intestins sont « propres » et que tout s’y passe bien, des bactéries, des levures, des moisissures, des champignons et même des virus y cohabitent en toute intelligence. Il y a même le bien connu champignon « candida albicans » qui est  un organisme vivant à l’état naturel dans les muqueuses de l’être humain.

Mais qui fait beaucoup parler de lui lorsqu’il prolifère anormalement.

Et à partir de là, des troubles plus ou moins importants peuvent apparaître. Rien d’étonnant, ces champignons libérant des toxines qui sont de puissants poisons.

Quand le système immunitaire est affaibli (à cause du stress par exemple ou pour d’autres raisons, comme la « malbouffe »), le candida albicans en profite pour proliférer.

D’autres causes peuvent être à l’origine du développement excessif du candida albicans dans l’intestin (tout en se propageant ailleurs), comme la prise de certains médicaments (antibiotiques, corticoïdes, pilule contraceptive, chimiothérapie anticancéreuse…), la présence de métaux lourds ou une alimentation trop riche en sucres. Quand vous mangez du sucre, le candida albicans se régale…… comme vous.

On peut maintenant se poser quelques questions :

Pourquoi cette hémochromatose ne se développe-t-elle pas chez tous ceux qui ont cette maladie dite « incurable»  alors qu’il s’agit d’une maladie « génétique » ?

Pourquoi cette maladie ne se manifeste-t-elle souvent qu’après 40 ans ?

Pourquoi les hommes sont-ils plus touchés que les femmes ?

Je vous laisse cogiter les réponses à ces 3 questions, sachant que :

Il n’y a jamais d’effet sans cause !

Et je vous invite à proposer vos réponses dans les commentaires. Y seraient aussi bienvenus ceux de personnes souffrant d’hémochromatose.

 En tout cas, la cure métabolique permet d’assainir et de nourrir pour « renaître » ensuite.

Si vous avez dans votre entourage, des personnes souffrant de cette hémochromatose génétique et en ayant marre de subir ces saignées, pourquoi ne pas leur envoyer cet article, qui pourrait leur donner une lueur d’espoir ?

PS : cet article comporte peut-être des inexactitudes ou des points seraient à préciser (je n’ai aucune formation médicale). Merci de me le signaler dans les commentaires afin que je fasse les rectifications qui s’imposent.

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