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Blog mis à jour: 09/10/2019 16:43

A propos de l'auteur

Bonjour,

Je m’appelle Hélène Delafaurie. Je suis française et je viens de fêter mes 70 ans. Quand j’avais 36 ans, j’ai eu un accident de voiture : 3 jours dans le coma, 24 fractures de la tête aux pieds. Quand je me suis réveillée, j’avais mal partout mais avec un grand sourire : j’étais vivante. Puis les amis ont commencé à me rendre visite et j’ai découvert que de temps en temps, je ne comprenais pas ce qu’ils disaient ! J’attrapais un mot par-ci par-là mais la signification de la phrase m’échappait totalement.

Après presque 3 ans d’hôpital, de rééducation, de chirurgie, j’étais capable de marcher parfaitement, de comprendre le français, mais j’avais une très mauvaise mémoire. Je ne me rappelais jamais des rendez-vous, du nom des gens, pourquoi j’étais venu là. J’avais besoin d’une rééducation du cerveau, de réapprendre à travailler !

Pour cela je suis allée au Japon pour faire une étude sur la vente par correspondance et le marketing direct japonais, j’avais toujours de terribles migraines et je n’arrivais pas à mémoriser un mot de japonais, car c’était une nouvelle matière pour moi. Je suis devenue professeur dans une université et je suis restée au Japon.

Puis j’ai trouvé une nouvelle forme de rééducation appelée «la Thérapie par le Son », dérivée d'une méthode découverte par le Docteur Alfred Tomatis, et j’ai pensé que cela pouvait être une solution à mon problème de mémoire (16 ans au Japon et le niveau de langage d’une débutante), mes insomnies, mon stress et une légère baisse d’audition. Cela parlait de « rééducation de l’oreille moyenne et interne », de « rééducation du cerveau », et je savais par expérience que la rééducation peut faire des miracles. Et c’était sans médicaments. Je déteste les médicaments! J’ai donc commandé tout de suite et j’ai commence à écouter. J'ai récupéré toutes mes facultés d'une façon naturelle et même agréable.

Je suis pour les médecines naturelles, parfois bizarres je les essaye, et je fais ce blog pour vous en parler.

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   Faisons le point sur le Gardasil  0 commentaire
[09/10/2019 16:43]

          En particulier sur le Gardasil 9 d'une part, et sur ce qui se passe dans les pays qui ont vacciné à tour de bras les jeunes filles entre 14 et 18 ans.

          On vous parle des papillomavirus suceptibles de provoquer un cancer du col de l'utérue. L'Institut National du Cancer des Etats-Unis estime que la relation directe entre le virus et le cancer n'est pas prouvée.

          Il existe une centaine de génotypes différents de ce virus HPV. Le 16 et le 18 seraient les plus à même de provoquer des cancers mais 90% des infections par ces virus guérissent naturellement. En fait, 95% des cas se situent dans les pays en voie de développement.
         Si ces cancers sont parfois mortels, c'est que, dans ces pays là, il n'existe pas de suivi gynécologique. Donc, quand on le détecte c'est qqu'il est trop tard.
          En France on fait régulièrement des frottis permattant de détecter et de régler le problème à temps. L'incidence générale du cancer du col en France, n'a fait que baisser (3,6% en 1910 --> 0,6% en 1950, et 1% de ces 06% deviendront des cancers) jusqu'à la mise en oeuvre de la vaccination. A partir de 2008, l'incidence a continué à baisser CHEZ LES NON-VACCINEES, par contre elle a AUGMENTE chez les vaccinées.

          Ce type de cancer met entre 20 et 30 ans à évoluer. Comment peut-on dire qu'il est efficace après quelques mois d'essais et d'études, ces dernières ayant été payées par le "experts" à la solde de Sanofi ? Sans parler des hommes et femmes politiques qui ont parti lié avec les grand labos en général et Sanofi en particulier.
          - Xavier Bertrand, ministre de la santé, a donné l'AMM au Gardasil en 9 mois, et a décidé qu'il serait remboursé à 65% sans même attendre l'avis de la HAS qui était réticente. Son départ était imminent.
          - Roselyne Bachelot, 12 ans chez ICI = Astra Znecca, découvreur du hpv, donne au laboratoire Sanofi le prix de la recherche pour son vaccin.
          - Nicolas Sarkozy, du dernier bien avec l'ancien Président du conseil d'administration de Sanofi, et qu'il a nommé Président d'un fond doté de 20 milliards d'Euros.
          - François Hollande, bien briefé par la directrice de la Direction Générale de la Santé, propose de vacciner plein pot. Le gendre de cette dame étant directeur de la stratégie de Sanofi.
          - Quant au Président Macron, ses très bonnes relations avec Sanofi s'étalent étalées au grand jour.
Ne parlons pas de tous les députés et sénateurs, la liste serait trop longue.

          Quels sont les résultats de la vaccination, 12 ans après ? Ils sont terrifiants : en Australie et en Suède qui ont vacciné 80% des leurs ados, deux fois plus de cancers dans le groupe des 20-24 ans, donc une accélération phénoménale du temps de développement.

          Alors maintenant on nous propose un Gardasil 9. Quelle est la différence ? Il a deux fois plus d'aluminium, deux fois plus d'antigènes, toujours du polysorbate 80, cancérigène, reprotoxique et foztotoxique, toujours du Borax (mort aux rats) qui porte sur son emballage la mention "peut nuire à la fertilité et au foetus".
          Ce nouveau vaccin a été approuvé sans aucune étude malgré son changement de composition, car les vaccinc, TOUS les vaccins, sont dispensés de toute évaluation de leurs effets cancérogènes, sur la reproduction et sur le foetus. Donc on félicite beaucoup les laboratoires qui font des études ... sur les effets à 14 jours suivant les injections.

          Le Gardasil, c'est le nouveau scandale Vioxx et Mediator. Les effets secondaires les plus courants : menopause précoce, triplement des fausses couches, dégénérescence testiculaire et ovarienne, malformations foetales, paralysies, sclérose en plaque, ... et décès. Il y a 30% de plus d'effets graves déclarés (et on sait bien qu'ils ne le sont pas tous, loin de là)  que de cancers que ce vaccin est censé prévenir.

          Mesdames, mamans, jeunes filles, appliquez le principe de précaution. Faites régulièrement des frottis - car il est bien spécifié que le vaccin ne vous en dispense pas - et portez vous bien.

Hélène Delafaurie
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   TEMOIGNAGE DES PARENTS DE STACY  0 commentaire
[28/05/2019 19:08]

          Si nous avions été correctement informés, nous aurions personnellement choisi de ne pas faire vacciner nos jumelles et Stacy serait peut-être encore en vie aujourd’hui.

          C’est tout simplement parce que nous avons fait confiance que nous avons fait vacciner nos jumelles à l’ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance), en octobre 2011.

          Une semaine plus tard, Stacy décédait et Lesly continuait de souffrir d’effets secondaires non négligeables. Entre-temps, nous nous sommes informés et nous avons découvert un monde opaque où la désinformation et les conflits d’intérêts règnent en maîtres. Nous avons également eu connaissance de pas mal d’autres témoignages de parents d’enfants eux aussi victimes, dont plusieurs sont décédés dans des circonstances similaires, comme Nova Ledantec (en France).

          Comme nous avons hélas pu le constater, ces effets secondaires graves sont le plus souvent taxés de « coïncidences » et les vaccins systématiquement blanchis.

          Or combien d’autres parents dans notre cas n’ont pas eu le courage ou la force d’entamer des actions en justice qui auraient pu faire parler d’eux ? Il faut dire que ce genre de procédures requiert une bonne dose de détermination, comme en témoigne le refus d’autopsie auquel nous sommes confrontés et ce alors qu’une loi belge de 2003 impose pourtant de la réaliser pour tout décès inopiné d’enfant de moins de 18 mois ! Tout ceci démontre donc le caractère très sensible de ce genre de dossier et tend à montrer que les risques des vaccins sont fort sous-estimés et donc mal évalués. En effet, il faut par exemple savoir, comme plusieurs études scientifiques l’ont démontré, que les vaccins peuvent affaiblir le système immunitaire, rendant ainsi la personne beaucoup plus réceptive et sensible à toutes sortes d’infections opportunistes pouvant s’avérer mortelles.

          Dans ces conditions, nous estimons qu’il est totalement illégitime et irresponsable d’aller imposer des vaccins potentiellement aussi risqués à des enfants qui n’ont rien demandé.

          C’est le sens de nos démarches depuis 4 ans, réclamer la liberté et le droit à l’information qui va de pair car sans information, il n’y a pas de véritable liberté de choix. C’est en fait réclamer tout simplement l’application de cette loi de 2002 sur les droits des patients qui visiblement, peine à s’appliquer dans le domaine de la vaccination…

          Pour conclure, une phrase qui résume parfaitement notre démarche mérite d’être rappelée. Elle émane d’une association australienne d’information sur les vaccins (Vaccination Risk Awareness Network) : « Il y a tant de doutes, de confusions et d’incertitudes au sujet des risques et des bienfaits des vaccinations que, dans une démocratie fondée sur le droit, il est moralement, éthiquement et scientifiquement impossible de justifier la pratique de vaccinations obligatoires et systématiques. »

Raphael et Béatrice Sirjacobs

Toutes mes condoléances et ma sympathie à Béatrice et Raphael. Vous êtes la raison même du pourquoi je lutte.

Hélène Delafaurie
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   L'affaire Wakefield  0 commentaire
[28/05/2019 18:57]

          Vous avez peut être entendu parler de ce médecin anglais qui a fait une étude sur le lien possible entre vaccin ROR et maladies gastro-intestinales graves et autisme. On l'a trainé plus bas que terre, lui et son équipe, on l'a traité de malhonnête, on a dit que son étude était bidonnée... Il a été radié de l'ordre des médecins, il a perdu son travail et a été obligé de s'expatrier.

          En fait l'affaire Wakefield est un véritable roman policier, et je vous invite a regarder cette vidéo qui relate toute l'affaire dont, indirectement, il a été blanchi.

          Dr. wakefield, vous n'êtes pas malhonnête et je vous admire pour avoir enduré tout ce qu'on vous a fait subir. Les malhonnêtes ce sont ceux qui ont voulu vous baillonner et qui ont fait tout de mal à nos enfants.

L'affaire Wakefield

 

Hélène Delafaurie
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   la Vacciantion obligatoire est un viol  0 commentaire
[28/05/2019 11:42]

  La vaccination obligatoire: Un viol criminel


Argumentation d’un avocat :

    La vaccination sous la contrainte et la menace est un viol, et le viol est un crime
 
    Le viol est défini par le code pénal comme «tout acte de pénétration (sexuelle), de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise.

     Tout acte de pénétration (sexuelle) est visé: buccale, vaginale, anale, par le sexe, par le doigt, par un objet.

     La peine encourue est de 15 ans d’emprisonnement (20 ans sur mineur de moins de 15 ans).

     Notez que la vaccination contrainte a tous les attributs du viol avec pénétration: Violation du corps par pénétration d’une aiguille, avec injection de produits (éjaculation).

     Si le violeur sexuel a le SIDA et le sait, son crime de viol peut même être requalifié d’empoisonnement délibéré, ce qui, là encore, vu la composition des vaccins, est tout à fait équivalent (la mort aux rats = Borax et le formaldéhyde, pour ne citer qu’eux, sont bien des poisons).

     Sans consentement libre et éclairé, l’injection de poisons vaccinaux sous la contrainte et la menace, en bande organisée, à des mineurs de moins de 15 ans, est constitutive non seulement du crime d’empoisonnement, mais aussi de celui d’un viol caractérisé et aggravé par personne ayant autorité publique.

    Crimes passibles de la cour d’Assise et d’une peine de 20 ans de prison (et plus) et de 150 000 € d’amende.

     Le Président de la République, la ministre de la Santé, les députés ayant voté la loi d’obligation vaccinale, s’exposent donc à cette peine, s’ils persistent dans l’application de cette loi criminelle.

C’est une argumentation sans failles ! Si Madame Buzyn est condamnée (après tout, Monsanto l’a bien été), je m’engage à lui envoyer des colis d’oranges tous les mois, promis; juré, craché par terre !

Hélène Delafaurie
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   Apurone®, antibiotique retiré du marché  0 commentaire
[27/05/2019 19:00]

 car plus dangereux qu’utile.

Après mon article précédent, il me paraissait nécessaire de vous faire suivre cet article.
Publié le 11 Avril 2019 par Pauline Capmas-Delarue, journaliste santé

         Suite à une étude sur le rapport bénéfice/risque des antibiotiques à base de quinolones, l’Apurone®, va être retiré du marché. Ses effets secondaires pourraient s’avérer invalidants et irréversibles.
         L’Apurone®, un antibiotique à base de quinolones, va être retiré du marché, car son rapport bénéfice/risque a été jugé défavorable par l’Agence européenne des médicaments (EMA). Ce dernier recommande également aux médecins la plus grande vigilance quant à la prescription de médicaments formulés avec des fluoroquinolones.

L’Apurone® retiré du marché à cause de ses effets indésirables
         Selon l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), “les quinolones et les fluoroquinolones sont des antibiotiques administrés par voie systémique ou par voie inhalée”. Ces médicaments sont “utilisés pour traiter des infections bactériennes au cours desquelles le pronostic vital peut être engagé”.
         Néanmoins, la gravité de leurs effets indésirables a poussé l’Agence européenne des médicaments (EMA) à réévaluer ces antibiotiques Ces substances pourraient, en effet, provoquer des troubles musculo-squelettiques ou du système nerveux, pouvant durer plusieurs années ou même s’avérer totalement irréversibles.
         Suite à cette réévaluation, le comité de pharmacovigilance européen (PRAC) a jugé que les quinolones présentaient plus de risques que de bénéfices potentiels. L’ANSM a donc annoncé, dans une lettre aux professionnels de santé que l’Apurone® - seul antibiotique à base de quinolones commercialisé en France - allait être retiré du marché. Les fluoroquinolones, quant à eux, restent autorisés, mais font désormais l’objet de restrictions.
        L’EMA conseille aux médecins de limiter leurs prescriptions de fluoroquinolones
        Ainsi, les traitements à base de fluoroquinolones devraient être “réservés aux infections pour lesquelles l’utilisation d’un antibiotique est indispensable et où d’autres antibiotiques ne peuvent pas être utilisés”. Ils ne seront donc plus prescrits pour traiter des infections non-sévères (angine, pharyngite…) ou de sévérité modérée (cystite, bronchite chronique, otite moyenne aiguë...).
         En outre, les fluoroquinolones ne doivent en aucun cas être administrés aux patients ayant déjà présenté des effets indésirables graves avec un antibiotique de cette famille, et ne doivent pas être consommés en parallèle de corticoïdes. L’ANSM appelle également à la prudence dans le traitement des personnes âgées, et des patients atteints d’insuffisance rénale ou ayant bénéficié de greffes d’organe, qui sont plus à risque face aux effets secondaires.
         Si vous suivez actuellement un traitement à base de fluoroquinolones, l’Agence nationale de sécurité du médicament vous invite à consulter votre médecin, si vous constatez des symptômes tels que “des douleurs ou une faiblesse musculaire et des douleurs ou gonflements des articulations”.


    En conclusion, il vaut mieux savoir se passer des antibiotiques.
A bientôt


Hélène Delafaurie
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   Antibiotiques et antibiorésistance  0 commentaire
[27/05/2019 18:55]

Antibiotiques, la panacée du XXème siècle
       Les antibiotiques furent une des plus grandes avancées dans les médicaments trouvés au XXème siècle. Ils ont permis de sauver bien des vies et de faire disparaître de grandes infections bactériennes : érysipèle, fièvre puerpérale, pneumonie à pneumocoques, méningite à méningocoques, maladies vénériennes à bactéries, tuberculose, angines bactériennes…
      Le problème c’est qu’on les a utilisés à tort et à travers, les patients croyant au miracle et refusant de quitter le cabinet sans une ordonnance d’antibiotiques, les médecins pour le cas où. Et pourtant il y a bien des cas où les antibiotiques sont parfaitement inutiles comme toutes les maladies à virus, bronchites, grippes, angines, rhumes…
      A l’heure actuelle, 50% des prescriptions sont inutiles ou même dangereuses. Autrefois, lorsque j’étais petite, on ne prescrivait pas d’antibiotiques sans y associer un probiotique, ou au moins vous dire de manger des yaourts. Les médecins savaient que ces antibiotiques étaient dangereux pour la flore intestinale. Maintenant, rien. Pas un médecin n’en parle. Or il est avéré que les antibiotiques peuvent perturber la flore intestinale pendant un an.
       Et où se trouve notre immunité ? Dans notre intestins, ou plus particulièrement, dans notre microbiote.

Résultat de ces prescriptions massives
       En premier, l’intestin devient perméable car les bonnes bactéries produisant du butyrate, un acide gras qui joue un rôle essentiel pour diminuer la perméabilité de l’intestin et nous protéger de nombreuses maladies inflammatoires et auto-immunes Cet acide gras est fortement diminué suite à la prise d’antibiotiques. Or un intestin perméable provoque beaucoup de problèmes, maladies auto-immunes, etc.
       En second lieu, apparition de l’antibiorésistance, l’apparition de bactéries pathogènes mutantes et résistantes aux antibiotiques. Et donc certaines maladies graves ne peuvent plus être soignées et peuvent provoquer la mort. D’après les statistiques américaines, 23 000 morts par an seraient imputables à l’antibiorésistance.

Médecins et antibiotiques
       On pourrait croire que, depuis l’apparition de l’antibiorésistance, les médecins ont appuyé sur la pédales douce. Après toutes leurs années d’études, ils peuvent être à même de comprendre le problème. Peur de la surinfection suite à une maladie bénigne ? Alors fatigués par le nombre de patients vus dans la journée et pour ne pas avoir de reproches, ils prescrivent, et de plus en plus le soir, lorsqu’ils sont fatigués.
       On a fait aussi un test en informant les médecins sur « le plus performant » = celui qui prescrit le moins d’antibiotiques inutiles. Les prescriptions ont chuté de 20% à 3,7%. On pourrait envisager, comme au MacDo, la photo du « meilleur médecin du mois » placardée dans la salle d’attente. Il paraît que ce n’est pas envisageable en France. Dommage !

Que substituer aux antibiotiques ?
       La première chose à faire, c’est d’améliorer son microbiote. Boire et manger des boisson et des aliments fermentés tels kéfir, yaourts (de chèvre ou de brebis (pour éviter le lait de vache), choucroute ou autres légumes fermentés. Prendre des compléments alimentaires, des probiotiques efficaces avec au moins 5 souches et des milliards de bactéries revivifiables, associés à des prébiotiques pour nourrir la flore.
       Ensuite, utiliser des huiles essentielles. Le ravinsara est la première à utiliser an cas d’infection de la sphère ORL, en massage sur le thorax, à respirer telle quelle ou en inhalations avec de l’eucalyptus globulus si nez qui coule ou eucalyptus radié si toux. Personnellement je prends tout l’hiver, à titre préventif, 3 gouttes de niaouli dans un peu de miel une fois par semaine. Mélanger avec une cuillère en bois ou en plastique, et boire une infusion chaude de romarin pour faire passer (ce n’est pas très bon). Cela pour booster mon immunité. Quand par hasard je suis un peu malade, je passe à l’origan, mais c’est nettement plus difficile à ingérer. Une seule goutte dans un peu de miel est largement suffisante.
       Il y a également l’apithérapie ou les antibiotiques de la ruche. Car c’est exactement ce qu’est la propolis qui vise à empêcher les infection ou mauvaises bactéries à pénétrer dans la ruche.
       L’argent colloïdal, connu depuis des siècles, peut être même des millénaires, est un excellent antibiotique naturel, confirmé par des études récentes.
       Naturellement, il y a l’homéopathie, qui n’est pas près de disparaître malgré les efforts de notre ministre. Il est évident que l’homéopathie ne se contente pas de soigner mais aussi de guérir, et comme le disait un grand ponte des laboratoires pharmaceutiques à une réunion entre collègues, « un patient guéri est un client perdu », ce n’est donc pas le but de tous ces médicaments. Petit florilège de ces petites billes blanches: Belladonna sera à privilégier si le tableau s'accompagne de sueurs et congestion de la tête. Si le diagnostic se confirme, il faudra prendre en même temps Gelsemium pour lutter contre le mal de tête, surtout frontal et occipital, et les frissons ;
Rhus toxicodendron pour lutter contre les courbatures et les douleurs autour des articulations, et éventuellement
Eupatorium perfoliatum en cas de douleurs musculaires, osseuses et surtout oculaires, aggravées quand on appuie dessus.

        Tous ces remèdes sont à prendre en 9 CH, de préférence en granules, 3 toutes les deux heures jusqu'à amélioration.
    
        L’extrait de pépins de Pamplemousse est également très efficace, aussi bien à titre préventif, au moment des changements de saison, qu’à titre  curatif en cas de maladie; rhume ou grippe.
  
        Vous pouvez également essayer la gemmothérapie, et les Fleurs de Bach.

Conclusion
  
          Bref comme vous pouvez le constater, les moyens naturels ne manquent pas, ils ont été vérifiés par la science et des études indépendantes, et ils ne risquent pas de contribuer à augmenter l’antibiorésistance. 
    
          Pour ma part, cela fait plus de 30 ans que je ne prends aucun antibiotique, et je suis de moins en moins malade. Naturellement, quand il s’agit d’une question de vie ou de mort, de septicémie aigüe ou autre, on prend d’abord les antibiotiques et une fois sorti d’affaire, on soigne les effets secondaires des médicaments.
          Et n’oubliez pas que si une grippe soignée dure une semaine, non soignée elle dure huit jours… à condition de ne pas avoir été vacciné !

Hélène Delafaurie
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   Suite de ma cataracte  0 commentaire
[25/05/2019 18:38]

   J'avais une phobie : il était impossible d'approcher quelque chose de mes yeux, j'avais tout de suite le coeur à 200 et je hurlais presque. Je n'ai plus de phobie grâce à l'EMDR. Liquidée en 3 séances. J'ai donc pu voir le monde en couleurs. Mais comme j'avais encore un oeil qui n'avait pas beaucoup de cataracte, j'ai voulu le sauver naturellement. Victoire, j'y suis arrivée.

     Depuis 3 ans, ma cataracte n'a pas évolué. Ma vision est passée de 6/10 à 8. Je continue à faire mes exercices de Gym des yeux et du Do In, acupressure, pour augmenter mon énergie oculaire, et je prends des compléments alimentaires chinois. Le tout me réussit pas mal. Pour la gym et le Do In, je ferai une vidéo. Mon complément alimentaire porte un nom à coucher dehors, Yu Ping Feng Pian    
    Donc vous voyez que tout espoir n'est jamais perdu !

Hélène Delafaurie
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   Obésité, surpoids? Vous ne mangez presque rien !  0 commentaire
[25/05/2019 18:04]

    On se demande pourquoi on grossit ! Suivez la piste de l'argent, comme dans les romans policiers. A qui profite le crime ?

Pourtant nous mangeons "bon pour la santé"

    D’près les pub à la télé et dans les journaux, ou dans les supermarchés, tout ce qu’ils vendent est, à première vue, bon pour la santé. Et même recommandé par le PPNS = Programme National Nutri-Santé, lui-même associé à l’ANSES = Agence Nationale de Sécurité Sanitaire et de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail.

    Commençons par le PPNS. Cet organisme est responsable des recommandations alimentaires données au Français à coup de pub pour des produits alimentaires, du style « bourrez-vous de bonbons plein de sucres et de colorants mais ne grignotez pas et bougez un peu ».
    A qui est associé le PPNS ? A Nestlé et Danone, les deux géants de l’agro-alimentaire qui sont derrières toutes les marques qui vous proposent de prendre la vie côté plaisir et gourmandise. Après tout une petite douceur ne peut pas faire de mal dans ce monde plein de stress et d’emm…

    Quant aux 12 membres de l’ANSES, huit font partie de l’Institut Danone, neuf font partie du comité directeur du PPNS et font aussi partie du Fond Français pour l’Alimentation et la Santé qui est financé par … Nestlé.
Dans le genre famille tuyau de poêle, on ne fait pas mieux.
    Mais ce n’est pas tout ! Ils recommandent des aliments bourrés de sucre qui font grossir et sont actionnaires … devinez … de Weight Watchers. Et peut être aussi de Comme j’aime, que je n’aime pas, de mimi-box ou autres trucs pour faire maigrir en vous déresponsabilisant au maximum. Et la boucle est bouclée.
    Bénéfices à tous les étages.


    Le surpoids ou l’obésité multiplie par 2 à 5 le risque de cancer. Encore des bénéfices !

    Dans le genre produits « bons pour la santé car on pense à vous » nous avons:
La margarine pleine d’omega3
Le lait de Soja, plein de « oestrogènes like » —> fait grossir
Les produits lights, pleins d’aspartame qui vous bousille les neurones
le jus d’orange du petit déjeuner, plein de sucre et sans fibres
les céréales, y compris les « minceur », encore plus pleines de sucres
Les petites viennoiseries du petit-déjeuner, pleines d’huile de palme, de graisses trans et de sucres
les bonbons qui ne sont bons ni pour les grands ni pour les petits car pleins de sucres, de colorants cancérigènes (pourquoi croyez-vous qu’il y a autant de pedo-oncologues ?)
les boissons à bulles, noires ou non, mais toujours très sucrées, incontournables pour faire la fête mais qui donne le diabète de type 2 aux enfants à partir de 5 ou 10 ans…

    Bref, pour faire court, l’obésité est une pandémie qui provoque maladies cardio-vasculaires, diabète, hypertension, foie « gras » … et cancer.

    La drogue la plus dure, en vente libre, sous forme de poudre blanche, c’est le sucre. Beaucoup y sont complètement accro et il faut s’en désintoxiquer, exactement comme pour l’héroïne ou la cocaïne. Aux Etats-Unis il y a des cliniques pour ça. Et même pour se désintoxiquer de l’Aspartame, reconnu comme très toxique mais mis sur le marché à coups de corruption et de millions de dollars.

Help ! Je suis accro aux drogues dures !

     Et là, j'entends mes amies me dire : "que faire ? Je ne peux pas me passer de sucre!" La solution est là : une possibilité de se désaccoutumer du sucre; grâce à une plante, et qui a un effet dans 80% des cas. C’est la Gymnéma : elle détruit l’envie de sucre. Cette plante nous vient de la médecine ayurvédique et son nom signifie « destructeur de sucre ». Il suffit d’en prendre 1 gélule matin et soir avec un grand verre d’eau et au bout de quelques jours vous ne sentirez plus le goût du sucre qui perdra donc tout intérêt.
     Mais il se peut que le gymnéma n’aie pas d’effet pour vous. On ne sait pas pourquoi, mais cela arrive dans 20% des cas et alors il vaut mieux, dans ce cas, ne pas en prendre pour le bien de votre pancréas.
    Pour vérifier tout de suite dans quelle catégorie vous vous trouvez, faites le test suivant : prenez une gélule de gymnéma, ouvrez-la dans votre bouche, prenez un verre d’eau, et quelques secondes plus tard, observez si une cuillère de miel a bien un goût de miel. S’il vous paraît insipide, c’est que la plante agit et vous pouvez dans ce cas, sans risque, commencer une cure.

    Si en plus vous modérez quelques sucres cachés tels que le pain, les pâtes, les viennoiseries, les céréales du petit-déjeuner et les sodas, vous commencerez à perdre des kilos.

    Mangez vos fruits en dehors des heures de repas, collation vers 10:00 et 17:00; cela supprimera vos envies de grignotage. Mais vous pouvez aussi prendre 3 gouttes d’huile essentielle de citron sur un comprimé neutre 30 mn avant les repas.


Et puis il y a le microbiote !

         Cependant il n’y a pas que le sucre qui fait grossir, il y a aussi le microbiote. En effet, s’il n’est pas équilibré, vous pouvez grossir même en ne mangeant pratiquement rien, en étant frustrée et jalouse de la copine qui peut manger n’importe quoi sans grossir. Cela m’est arrivé.

    Quand j’étais jeune, je pouvais manger tout ce que je voulais et je ne prenais pas un gramme. Disons-le, j’étais même maigre à faire peur.
    Par contre, mon amie Marie-Thérèse devait tout le temps faire attention pour ne pas devenir plus que boulotte. Elle avait l’habitude de me dire avec désespoir : « je regarde le gâteau, je prends 500 gr et toi, tu manges les deux gâteaux et tu perds 500 gr. C’est pas juste ! »
    Effectivement, on entends de plus en plus de gens parler de leur régime draconien sans arriver à perdre un gramme.

    La raison se trouve dans vos intestins.

    En effet, les médecins parlent de plus en plus du microbiote et de ses particularités. Et à force de l’étudier, ils ont découvert ceci.
    Parmi nos centaines de millions de bactéries qui colonisent notre intestin et qui font notre immunité, il y a une catégorie de bactéries qui sont là pour nous protéger des famines, les Firmicus, chargées d’extraire le maximum de nutriments de LA pauvre pomme que nous ingérons dans le but de nous permettre de survivre. Si vous avez trop de Firmicus dans votre intestin, vous pouvez vous rationner jusqu’à ne presque plus rien manger et grossir quand même. Il est probable que c’était le cas de mon amie Marie-Thérèse qui en avait trop.
    Mais il y a aussi une catégorie de bactéries qui, au contraire, éliminent un maximum de ce que nous mangeons et qui nous font maigrir, les Lactobacillus. Elles inhibent les enzymes responsables du stockage des graisses. Elles diminuent l’appétit et les leptines, hormones de la faim, contrairement aux Firmicus. Il est probable que, pour moi, le déséquilibre était dans ce sens là.

    Comment retrouver un bon équilibre de votre microbiote de façon à pouvoir maigrir sans vous obliger à mourir de faim et à désespérer ?
    Le meilleur complément alimentaire que j’ai pu trouver sur le marché et qui est recommandé par le Dr. Willem est le Lacto-hanslim chez Han Biotech et qui contient 12 milliards de bactéries revivifiables et bonnes pour maigrir, à savoir Gasseri, Rhamnosus, Plantarum et Reuteri.

    A bientôt pour vous faire part des mes dernières découvertes en matière de santé et de compléments alimentaires.


Hélène Delafaurie
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